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GUERRE FROIDE 2.0 

Observations des tendances macroéconomiques et de marché du CIO de Multi-Asset Solutions

28 juillet 2022  |  Temps de lecture : 8 minutes


Maria Vassalou, PhD

Co-Chief Investment Officer, Multi-Asset Solutions

Maria Vassalou, PhD

Amy Yifan Zhou, PhD

Multi-Asset Solutions

Amy Yifan Zhou, PhD


 

La confrontation en cours entre la Russie et l’Occident a renouvelé les craintes d’une nouvelle Guerre froide 2.0. Comparées aux conflits idéologiques généraux qui ont eu lieu au cours du 20e siècle entre les blocs de l’Est et de l’Ouest, les phases initiales de la Guerre froide 2.0 ont été plus ciblées et localisées. Cependant, il semble probable qu’elles soient plus dommageables à la croissance et à la coopération économiques mondiales, et cela sans pratiquement tous les avantages associés à la première Guerre froide. Compte tenu des coûts économiques, politiques et humanitaires pour toutes les parties, la Guerre froide 2.0 pourrait ne pas avoir de vainqueur. Dans la conjoncture actuelle, les matières premières devraient devenir un facteur plus déterminant de la croissance économique que dans les cycles économiques précédents. Les stratégies d’investissement traditionnelles devraient également être réévaluées pour tenir compte de l’augmentation des risques géopolitiques dans les ensembles d’opportunités des marchés développés et des marchés émergents.

 

Impact économique de la Guerre froide 1.0

Au 20e siècle, le monde a connu une longue période de rivalité entre les États-Unis et l’URSS, ainsi qu’entre leurs alliés respectifs. Les deux blocs incarnaient des idéologies opposées et étaient en concurrence dans de nombreux domaines, du développement militaire à la croissance économique. Chaque côté espérait démontrer la supériorité de son propre système et encourager d’autres pays à l’imiter. Dans les années 1950 et 1960, la croissance de l’économie américaine a été d’environ 3,8 % par an, alors que celle de l’économie soviétique a été légèrement supérieure à 5 % par an.1 Les projets d’industrialisation planifiés de manière centralisée et les développements de la défense ont été les principaux moteurs de cette croissance soviétique.

 

Les pays des blocs de l’Est et de l’Ouest ont également cherché à renforcer leur croissance en s’aidant mutuellement et en libéralisant le commerce. Les États-Unis ont mis en place plusieurs programmes d’aide au développement qui ont joué un rôle important dans la renaissance de l’Europe d’après-guerre, dont le Plan Marshall américain. Ce dernier a fourni environ 13 milliards de dollars pour financer les efforts de reconstruction après la guerre et est largement reconnu comme un succès économique et de politique étrangère. Les programmes de libéralisation du commerce comme le GATT ont également stimulé les progrès économiques dans le bloc occidental. Parallèlement d’une certaine manière, l’URSS a formé le Conseil d’assistance économique mutuelle (Comecon) entre pays socialistes, bien que son impact ait été limité.

 

L’économie soviétique a commencé à s’essouffler dans les années 1970. Après une courte période pendant laquelle elle a bénéficié de la crise énergétique, le coût élevé de la course aux armements a finalement été délétère à sa croissance. Son déclin s’est poursuivi tout au long des années 1980 marquées par une offre de pétrole excédentaire et a contribué à la dissolution officielle du bloc de l’Est en 1991. Les États-Unis ont réussi à surmonter leurs propres difficultés dans les années 1970 et 1980 et ont maintenu un taux de croissance moyen supérieur à 3 % au cours de cette période.

 

Cette fois, c’est différent

La tension géopolitique de cette année a son origine dans un conflit régional entre la Russie et l’Ukraine, mais elle a rapidement évolué vers une confrontation mondiale, la Russie se servant de ses exportations de matières premières comme d’une arme pour menacer le bien-être économique et la sécurité énergétique des partisans occidentaux de l’Ukraine. Cette situation est parfois qualifiée de Guerre froide 2.0, puisqu’elle rappelle le bras de fer entre l’Est et l’Ouest au 20e siècle, mais avec des dommages économiques plus importants cette fois-ci.

 

Pendant la Guerre froide 1.0, les deux blocs se sont développés indépendamment en dépit de la course sans fin aux armements. Ces dernières années cependant, l’augmentation de la dépendance de l’Europe aux importations d’énergie offre à la Russie l’occasion de faire souffrir économiquement les pays qu’elle juge « peu amicaux ». Les États-Unis sont mieux placés en matière d’indépendance énergétique, mais ils ne sont pas à l’abri des risques liés à l’augmentation des coûts de la vie et de la production. La baisse du pouvoir d’achat risque de freiner la consommation des ménages, tandis que la moindre volonté de produire pourrait aggraver les perturbations de la chaîne d’approvisionnement qui nuisent à l’économie mondiale depuis un certain temps. Quant à la Russie, les exportations de pétrole et de gaz représentent encore près de la moitié des revenus du pays. Pour l’instant, la réduction du volume des exportations est compensée par l’augmentation des prix, mais les dommages devraient se concrétiser à terme. Les sanctions occidentales ont contraint les produits pétroliers russes à s’échanger sur des marchés plus petits à des remises plus élevées, alors que les dépenses provenant de la « guerre chaude » sur le terrain avec l’Ukraine continuent de s’accumuler. Si l’économie mondiale entrait effectivement dans une période de ralentissement significatif, les prix de l’énergie baisseraient probablement avec la demande, et la situation de la Russie s’en trouverait encore détériorée.

 

La Guerre froide 2.0 devrait aussi être source de plus de discordes que la Guerre froide 1.0. Au début du conflit russo-ukrainien, les pays de l’Union européenne ont rapidement adopté une position unifiée face à la tragédie humanitaire. Cependant, les États membres ont mis beaucoup plus de temps à s’entendre sur la mise en œuvre des sanctions sur le gaz russe, compte tenu de leur degré variable de dépendance et de capacité à s’ajuster. Il est peu probable qu’un Plan Marshall moderne ou une autre forme d’aide internationale puisse résoudre immédiatement le dilemme du gaz en Europe, puisque la modification du tracé et la construction des infrastructures de distribution prendront des années. Pour leur part, les alliés traditionnels de la Russie, comme le Kazakhstan, ont pris leurs distances pendant l’impasse actuelle. La Russie cherche également à établir un partenariat avec la Chine. Historiquement, les relations entre la Russie et la Chine ont été plus tendues que ce que pensent beaucoup d’Occidentaux, même pendant la première Guerre froide. La Chine et l’Europe entretiennent des liens étroits, et lorsque la Russie demande le soutien de la Chine pendant la Guerre froide 2.0, cela ne facilite pas les relations entre les deux pays.

 

Contrairement à ce qui s’est passé pendant la Guerre froide de 1.0, cette année, la Chine a pris soin de ne pas prendre parti pour l’un ou l’autre camp. L’économie chinoise est maintenant au deuxième rang mondial par sa taille, seulement derrière les États-Unis et loin devant la Russie, au onzième rang. Étant donnée la position actuelle de la Chine, les risques qu’elle s’allie à la Russie et s’engage dans un conflit direct avec les États-Unis et l’Europe pendant la Guerre froide 2.0 apparaissent très limités. Cependant, alors que la Chine continue d’accroître son influence et sa compétitivité sur la scène internationale, de nouveaux conflits pourraient apparaître entre l’empire du Milieu et les États-Unis, qui pourraient considérer son essor comme un défi à leur domination. Ces dernières années, la Chine a également cherché à faire du RMB une monnaie de réserve internationale, et a développé ses propres systèmes de paiement et de compensation transfrontaliers, qui fonctionnent parallèlement au mécanisme occidental. La domination des réserves en dollars et des infrastructures financières basées sur le dollar est peu contestée aujourd’hui, mais les alternatives émergentes devraient permettre de contourner les sanctions plus facilement, les rendant ainsi moins efficaces à l’avenir.

 

Pour ce qui est des considérations géopolitiques, les perspectives de la Guerre froide 2.0 semblent encore plus sombres. L’objectif initial de la Russie était peut-être de resserrer son emprise sur l’Ukraine et de l’empêcher de rejoindre l’OTAN, qui depuis quelques décennies a accueilli plusieurs autres anciens pays soviétiques et du bloc de l’Est. Cependant, l’agression militaire russe contre l’Ukraine a changé l’évaluation du risque par le public dans la région et a incité de nouveaux pays à rechercher une meilleure protection contre l’invasion russe. La Finlande et la Suède sont allées jusqu’à abandonner leur neutralité historique et à demander leur adhésion à l’OTAN ; si le traité d’adhésion était conclu, il marquerait l’élargissement le plus significatif de l’OTAN depuis des années et renforcerait stratégiquement la présence de l’alliance dans la région Baltique. Un tel développement s’opposerait directement aux objectifs initiaux de la Russie et exacerberait encore le conflit entre les deux camps. Des représailles futures sont possibles, et l’avenir semble très incertain.

 

 

Graphique 1 : Comparaison entre les Guerres froides 1.0 et 2.0

 

 

Conséquences en matière d’investissement

Depuis un certain temps, les chocs sur les matières premières perturbent moins la croissance économique en raison d’une amélioration de l’offre, d’une meilleure efficacité et de la disponibilité de sources d’énergie alternatives. Cependant, la situation actuelle montre qu’en général, les marchés n’ont pas suffisamment tenu compte de l’impact potentiel des vulnérabilités géopolitiques sur l’équilibre entre l’offre et la demande d’énergie. Il a fallu l’exploitation de ces vulnérabilités en temps de guerre pour changer cela. La Guerre froide 2.0 se poursuivant, les matières premières devraient devenir un facteur plus déterminant de la croissance économique, tandis que la capacité des outils traditionnels des banques centrales à lisser les chocs de croissance et d’inflation exogènes sera probablement plus limitée.

 

Par conséquent, la Guerre froide 2.0 pourrait nous amener à réviser la liste des pays développés refuges et pourrait peser sur les perspectives des actifs des marchés émergents. À court terme, la performance du dollar américain a déjà dépassé celle des monnaies européennes et du yen japonais (JPY). Les perspectives pour les valeurs refuges traditionnelles comme le JPY pourraient continuer à être assombries par la dépendance énergétique de leurs économies respectives. Pour les marchés émergents, la solidité du dollar et la diminution de l’appétit pour le risque partout dans le monde impliquent également un avenir plus difficile. Bien que les pays exportateurs de matières premières puissent compenser en partie leurs problèmes de croissance et d’inflation en améliorant leur balance commerciale, les pays qui dépendent des importations de produits alimentaires et de carburant pourraient être particulièrement vulnérables, même s’ils ne sont pas des partenaires commerciaux directs de la Russie.

 

Les implications sur la diversification mondiale sont plus nuancées. D’une part, une fragmentation accrue dans un contexte de Guerre froide 2.0 signifie des corrélations plus faibles et de meilleures opportunités de diversification. D’autre part, les investisseurs doivent aussi tenir compte des risques politiques accrus pouvant survenir en temps de Guerre froide 2.0. Par exemple, si la Chine et l’Inde étaient perçues comme étant politiquement trop proches de la Russie, elles pourraient elles-mêmes faire face à des représailles et devenir des cibles secondaires des sanctions occidentales. En cas de changements réglementaires soudains, la libre circulation des capitaux pourrait ne pas être maintenue. Répétons-le, nous continuons de penser que la diversification internationale a des avantages clés. Cependant, les opportunités doivent être analysées soigneusement à un moment où les marchés réévaluent les risques géopolitiques.

 

 

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1 Source : Maddison, A. (2001), The World Economy: A Millennial Perspective. 

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Date de première utilisation : 28 juillet 2022.

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